• Le compte à rebours est lancé,

    plus que quelques heures, et...





    • le numéro 1 des calendriers de l'Avent va pouvoir s'ouvrir

    • la course aux cadeaux va commencer (la liste est presque complète, le budget est fixé...)

    • acheter sapin, robe de Noël pour grande princesse, petite fée en
      a une, chaussures un peu "jolies" pour grande princesse, quelques
      petits éléments de déco pour donner une dominante plutôt blanche.

    • faire sablés de Noël... orange, cannelle, sirop d'érable, miam.

    • penser au menu du Réveillon, faire simple mais convivial.

    • faire des cartes avec ma grande, les remplir, les envoyer.

    • retourner voir les vitrines des grands magasins.


    • téléphoner aux uns et aux autres.

    • transmettre un peu de lumière, un peu de chaleur, un peu d'amour.


    Cette petite liste, je pourrais la continuer longtemps... je suis
    impatiente, presque autant que ma fille aînée, que ce mois de décembre
    2006 commence.


    votre commentaire
  •  

    Ce mois touche doucement à sa fin.

    J'attends avec impatience vendredi, le début de l'avent, le début d'un mois plein de projets.

    Je déteste le mois de Novembre, même s'il a été clément cette année.

    Je
    trouve un attrait à tous les mois de l'année, sauf à celui-là.  Je
    m'accroche au cours de ces longues semaines au moindre rayon de soleil,
    comme pour retenir l'automne qui s'enfuit.  J'appréhende la
    moindre percée de froid glacial.  Virus et autres joyeusetés ne
    font qu'accentuer cette impression bizarre.

    Etrange tout de même...


    2 commentaires
  •  

    Mercredi dernier fût un mercredi bien tranquille.

    Un
    petit tour du côté de Belleville pour acheter du chou chinois et ce
    qu'il faut pour tenter une salade de chou à la japonaise (vous savez
    cette salade trop miam qu'ils vous servent avec les sushis...
    d'ailleurs, les sushis j'ai découvert cela il y a quelques semaines, et
    j'avoue que je serais accro si je n'étais pas si sage, enfin pour être
    honnête, je suis surtout attirée par les makis).

    Retour
    tranquille à la maison et envie soudaine de faire des sablés avec ma
    princesse pendant que petite fée dormait.  Un peu de Noël que nous
    laissons entrer petit à petit dans la maison avec les emporte-pièces
    achetés au hard-discounter du coin.  Non, je n'ai pas honte de
    vous montrer mes essais, à côté d'autres sur l'Internet, mes
    décorations font pâle figure.

    Qui ne tente rien n'a rien et il faut bien commencer un jour.

    Nous ne sommes pas ressorties de la journée, nous avons traîné un peu, un mercredi à nous.

    Au programme mercredi prochain : un spectacle pour enfant dans le XXème. 


    votre commentaire
  •  

    Je ne sais pas s'il faut chercher un sens à toute
    chose... j'imagine que non... j'imagine que c'est quelque chose que
    l'on fait tous.

    Depuis deux ans, la santé de ma seconde princesse
    me soucie beaucoup, je ne peux m'empêcher d'en être affectée.  Ce
    n'est pas grave en soi, mais un peu répétitif sur la durée. 
    Régulièrement, l'envie de travailler me prend, de sortir de ce rôle qui
    me colle à la peau, cette étiquette : mère.  Et puis, l'une de mes
    filles a de la fièvre, l'autre tousse... et je réalise que de toute
    façon je n'aurais pas pu travailler, et je me sens prisonnière, je n'ai
    pas le choix finalement et tout a été beaucoup plus simple vu que je ne
    travaillais (il est plus facile de gérer une hospitalisation quand on
    ne travaille pas par exemple).

    Tout cela est assez lourd et
    parfois on se demande : pourquoi encore ? pourquoi ça ? jusques à quand
    ? pourquoi suis-je là, à la maison ?

    Et hier, j'ai eu une réponse qui m'a beaucoup touchée et émue,
    j'ai eu une réponse qui m'a allégée les épaules.  Je ne veux pas
    me réjouir du malheur des autres, loin de moi cet état d'esprit, mais
    j'ai pu voir que j'étais utile et que tout ce que j'ai vécu ces
    derniers mois a été utile.

    Alors que je descendais l'escalier à
    16h15 pour chercher mon aînée à l'école, j'ai entendu ma voisine
    principalement anglophone du premier crier : help, help... je suis tout
    de suite remontée et je l'ai vue avec sa fille de neuf mois qui
    convulsait dans ses bras, j'ai pu l'aider, la rassurer, appeler le SAMU
    pour elle, aller chercher son fils à l'école, le rassurer sur le fait
    que le docteur des pompiers était chez lui parce que sa petite soeur
    était malade et que le camion de pompier pouvait venir vite, lui donner
    son goûter et m'en occuper tandis qu'elles allaient à l'hôpital avec
    les pompiers, elle a sûrement dû y rester pour la nuit.

    Avec
    beaucoup d'émotions je me suis revue, vivre exactement la même scène
    lorsque ma petite fée avait un an, crier au-secours, hurler au-secours
    sur le palier, et une voisine venant à mon aide.  C'est quelque
    chose de tellement dur de voir son enfant dans cet état,
    personnellement à chaque fois j'ai l'impression qu'elle va mourir.

    Je pense beaucoup à elles depuis hier soir et j'espère qu'elle
    ne sera pas comme moi : angoissée par la fièvre malgré un traitement
    spécifique, angoissée dès la moindre toux, peur que ça ne dégénère
    encore... il me reste maintenant à la rassurer du mieux que je peux sur
    l'avenir... 

    Je suis heureuse d'avoir pu être utile hier soir. 


    votre commentaire
  •  

    Plus le temps passe, plus je me dis que j'aurais dû faire la Mom' academy avant de devenir mère.

    C'est vrai quoi.

    On
    nous dit rien.  Avoir un enfant c'est tout beau, tout
    merveilleux... les difficultés de la maternité et de la paternité c'est
    tabou.

    J'aurais dû faire la Mom' academy, au moins j'aurais été recalée vite fait bien fait.

    Des
    cours de nuits pourries à cause de maladies (ben oui, encore des
    antibios pour la miss cette semaine !), il faudrait un entraînement
    comme à l'armée, des cours de médecine, des cours de secourisme, des
    cours d'animation,(berceuses, Barbie, faire sa propre pâte à modeler),
    un peu de bonnes manières à table, dans la rue, devant les autres, des
    cours de cuisine, des cours de traduction, des cours de management du
    couple, de gestion de crises, d'organisation du temps... avec tout ça,
    je crois que j'aurais réfléchi à deux fois avant de nous lancer dans
    l'aventure.

    Maintenant c'est fait... et je ne le fais même pas pour gagner un prix, pfffff.


    3 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique