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Hier, nous sommes allées en Afrique, les filles et moi.
Nous en avons senti l'aridité, le rythme, la chaleur... et la chaleur humaine.
Elles
ont eu un peu peur sur la fin, ce qui a peut-être gâché un peu
l'impression générale... mais nous avons aimé ce spectacle :Couty, un puits dans la savane
Un
conte dansé, ce sous-titre reflète parfaitement ce que c'était.
Un peu dur à comprendre peut-être pour les petits mais elles étaient
fascinées.Nous n'avions pas payé bien cher grâce à billetreduc.com ce qui permet de l'apprécier un peu plus facilement peut-être.
Par contre, notre princesse nous a avoué qu'elle avait préféré ce spectacle :
le spectacle sur la naissance de Jésus qui est présenté en ce moment au Théâtre du Gymnase.
J'avoue qu'ils y sont allés son papa et elle avec des invitations... hum...
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Ce mois touche doucement à sa fin.
J'attends avec impatience vendredi, le début de l'avent, le début d'un mois plein de projets.
Je déteste le mois de Novembre, même s'il a été clément cette année.
Je
trouve un attrait à tous les mois de l'année, sauf à celui-là. Je
m'accroche au cours de ces longues semaines au moindre rayon de soleil,
comme pour retenir l'automne qui s'enfuit. J'appréhende la
moindre percée de froid glacial. Virus et autres joyeusetés ne
font qu'accentuer cette impression bizarre.Etrange tout de même...
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Mercredi dernier fût un mercredi bien tranquille.
Un
petit tour du côté de Belleville pour acheter du chou chinois et ce
qu'il faut pour tenter une salade de chou à la japonaise (vous savez
cette salade trop miam qu'ils vous servent avec les sushis...
d'ailleurs, les sushis j'ai découvert cela il y a quelques semaines, et
j'avoue que je serais accro si je n'étais pas si sage, enfin pour être
honnête, je suis surtout attirée par les makis).Retour
tranquille à la maison et envie soudaine de faire des sablés avec ma
princesse pendant que petite fée dormait. Un peu de Noël que nous
laissons entrer petit à petit dans la maison avec les emporte-pièces
achetés au hard-discounter du coin. Non, je n'ai pas honte de
vous montrer mes essais, à côté d'autres sur l'Internet, mes
décorations font pâle figure.Qui ne tente rien n'a rien et il faut bien commencer un jour.
Nous ne sommes pas ressorties de la journée, nous avons traîné un peu, un mercredi à nous.
Au programme mercredi prochain : un spectacle pour enfant dans le XXème.
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Je ne sais pas s'il faut chercher un sens à toute
chose... j'imagine que non... j'imagine que c'est quelque chose que
l'on fait tous.Depuis deux ans, la santé de ma seconde princesse
me soucie beaucoup, je ne peux m'empêcher d'en être affectée. Ce
n'est pas grave en soi, mais un peu répétitif sur la durée.
Régulièrement, l'envie de travailler me prend, de sortir de ce rôle qui
me colle à la peau, cette étiquette : mère. Et puis, l'une de mes
filles a de la fièvre, l'autre tousse... et je réalise que de toute
façon je n'aurais pas pu travailler, et je me sens prisonnière, je n'ai
pas le choix finalement et tout a été beaucoup plus simple vu que je ne
travaillais (il est plus facile de gérer une hospitalisation quand on
ne travaille pas par exemple).Tout cela est assez lourd et
parfois on se demande : pourquoi encore ? pourquoi ça ? jusques à quand
? pourquoi suis-je là, à la maison ?Et hier, j'ai eu une réponse qui m'a beaucoup touchée et émue,
j'ai eu une réponse qui m'a allégée les épaules. Je ne veux pas
me réjouir du malheur des autres, loin de moi cet état d'esprit, mais
j'ai pu voir que j'étais utile et que tout ce que j'ai vécu ces
derniers mois a été utile.Alors que je descendais l'escalier à
16h15 pour chercher mon aînée à l'école, j'ai entendu ma voisine
principalement anglophone du premier crier : help, help... je suis tout
de suite remontée et je l'ai vue avec sa fille de neuf mois qui
convulsait dans ses bras, j'ai pu l'aider, la rassurer, appeler le SAMU
pour elle, aller chercher son fils à l'école, le rassurer sur le fait
que le docteur des pompiers était chez lui parce que sa petite soeur
était malade et que le camion de pompier pouvait venir vite, lui donner
son goûter et m'en occuper tandis qu'elles allaient à l'hôpital avec
les pompiers, elle a sûrement dû y rester pour la nuit.Avec
beaucoup d'émotions je me suis revue, vivre exactement la même scène
lorsque ma petite fée avait un an, crier au-secours, hurler au-secours
sur le palier, et une voisine venant à mon aide. C'est quelque
chose de tellement dur de voir son enfant dans cet état,
personnellement à chaque fois j'ai l'impression qu'elle va mourir.Je pense beaucoup à elles depuis hier soir et j'espère qu'elle
ne sera pas comme moi : angoissée par la fièvre malgré un traitement
spécifique, angoissée dès la moindre toux, peur que ça ne dégénère
encore... il me reste maintenant à la rassurer du mieux que je peux sur
l'avenir...Je suis heureuse d'avoir pu être utile hier soir.
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Vous ne trouvez pas que c'est une horreur et un désastre tous ces travaux dans Paris ?
Ca n'arrête pas, il y en a partout, et pour créer encore plus de difficultés de circulation.
« Ce n'est qu'en leur faisant vivre l'enfer que
nous obtiendrons un jour des automobilistes qu'ils renoncent à leur
bagnole ».
Yves Contassot, un élu
Verts de la capitale qui est adjoint à l'environnement de Bertrand
Delanoë.J'ai tire cette citation d'un site découvert hier qui nous a rassuré
un peu : nous ne sommes pas seuls à en avoir ras-le-bol ! C'est ici.En
plus, on ne sait pas ce qui est en projet, par exemple, découvert hier
: une voie de pompiers qui va défigurer notre avenue d'ici peu,
jusqu'où ??Ils vont finir par gagner, avoir une voiture (sans parking sous-terrain) devient un terrible casse-tête.
Et devant tout ça, je me sens bien impuissante, même si je sais que Delanoë n'aura pas ma voix, ça ne changera rien.
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